Manger sain pour être beau
Un régime reposant sur une alimentation équilibrée maintient en meilleure santé que la junk food (burgers, colas, pizzas…), on ne vous apprendra rien. Mais le nouveau credo exploité par les filières agroalimentaires a de l'avenir.
En misant sur une alimentation saine, les leaders de ce secteur appliquent l'équation magique du « manger bien qui rend beau ».
|
|
© Stockxpert
|
Selon une étude Ipsos, les hommes sont quand même 75% à choisir le sport pour rester beau, contre 65% des femmes. Elles sont 25% à privilégier le recours aux cosmétiques, contre 14% chez les hommes.
Cette spécialité d’Europe nordique séduit de plus en plus de Français. Diététique, protéinés et savoureux, le Skyr est devenue la crème des produits laitiers. On vous dit tout sur ses bienfaits. L...Lire la suite
Le lien entre l'alimentation et l'apparence physique est toutefois bien ancré dans les habitudes, puisque « manger sain » est citée à 47% (tous sexes confondus) comme l'action visant à embellir son apparence.
Le verdict de cette étude est clair : la meilleure façon de se rendre plus beau est un mode de vie sain.
Comme tu es bio mon fils !
Messieurs, vous savez donc ce qu'il vous reste à faire : à table ! Si vous voulez avoir une belle peau, ne vous privez pas d'abricot, de beurre (avec modération quand même), de carottes, ou de jaune d'œuf, riches en vitamine A !
La levure de bière en paillettes (dans vos potages, purée, semoule, salades…) renforcera la vigueur de vos cheveux et la solidité de vos ongles (ndlr : j'ai testé en cure pendant deux semaines, très efficace, je n'ai même plus de pellicule).
Le secret d'un ventre plat ? Quelques pompes au réveil bien sûr… et une bonne digestion ! Les ferments lactiques vous y aideront et les légumes verts qui contiennent des fibres.
Voilà pour quelques « alicaments » naturels. Mais qu'en est-il des produits qui dériveront de cette nouvelle tendance ? Compte tenu de la méfiance croissante des consommateurs vis-à-vis des aliments transformés, la vraie tendance n'est-elle pas aux produits frais, bio et à la traçabilité ?
Lien conseillé : Etude Ipsos sur les enjeux de la Cosmétofood